samedi 26 décembre 2009

en revenant des pleines du mepris



en revenant des pleines du mepris
en revenant des grande pleine
pleines du mépris
en revenant de la guerre
en revenant d une revolutions
qui réacquis dans mon coeur
quand je suis revenus je ne trouvas
que pleure et désolations
que des mures gris et humides
un feu sans flammes de joie
et se seule mots
ecrit de ton dernier adieu

mais sache bien ceci
je ne suis pas partis
pour mon amour de fairre la revolutions
mais je suis pas enfuit devants mes obligations et joie de père
mais je suis pas partis ou enfuit pour l amour dune femme
je suis partis combattre
aux front de la revolutions
contre Babylone et les siens
je suis partis a la guerre
car jai voulus aider a changer le monde et sa mentalités

une nuit de grande nuit
je suis partis pour les pleines du mépris
une nuit de grand jour
jai prix parchemin et plume
comme seule armes contres la solitude et oppressions

mais avant de partir cette nuit le
javais laisser
une larme sur du parchemins
javais laisser un espoir dans une rose
de mon grand chemins
javais laisser plume et encres pour trouve
une lettre d espoir

mais le temps a effectuer la colere et
le temps de indifférence a mis la poussiers du mépris
sur nos coeur qui se brisas
sur nos âmes qui se décomposes
dans la brume de l oubli

mais saches
que je vous aie jamais oublier
dans cette guerre
mmais sache que je vous aie envoyer plu sieur colombe blanche dans un arc en ciel de âix
que je vous aie offert des champs de tournesol
et des prairie de blé en offrante a vos espoir

mais que sais vous qui avez tourner le dos a la vérité
mais cest vous autres qui avez tourner le dos a mon amour

en revenant des grande pleine
pleines du mépris
en revenant de la guerre
en revenant d une revolutions
qui réacquis dans mon coeur
quand je suis revenus je ne trouvas
que pleure et désolations
que des mures gris et humides
un feu sans flammes de joie
et se seule mots
ecrit de ton dernier adieu

mais guerre a sonner
jetais ici en visites
voila que le carrosse de la mort
est a notre portes
voila le c hochet qui m appelle et invite a prendre place
mes ailles noir se deplois dans le nuage noir
mes ailles noir batte le vents de mon grands départ
mes ailles noir
sont le seul souvenir de notre amour
que tu a corrompus avec Babylone et ses serviteur
j étais venus t offre remissions de ton coeur de haine
jetais venus t offrir de te rendre sans effusions de colere
et je nai que trouve se parchemins
et se feux éteint
dans ta fuites
dans ton mépris et ta hontes
rasta

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