Center Blog [Aperçu du blog]: "ma chere maitrsse des parchemins
Publié le 19/01/2010 à 13:29 par rasta666s
ma chere maitrsse des parchemins
ma chère maitresse de mes parchemins
je t écris en silence dans un silence
dans le silence des vagues et des vents
je t écris pour te dire mercis
et que bientôt tu versa un arc en ciel
anoncant mon retour
dans ton lit et dans ton antre
pour venir a nouveau jouir de
ton fruit et de tes caisse dans
un silence qui seras morts
qui seras a nouveau remplace
par nos cris de jouissance et
pas de silence
en silence jai soigner mes blesure
et lavée les affront du passée
en silence j ai voyager au fond de moi
en reconstruisant mon royaume
que tu découvres par ton coeur
quand tu ma trouve dans cette tour
enchainée dans cette cage de ma vie
au croisent de notre vie
j en était que ombre de moi meme
quand ont c est trouve lun devants l autre
je ne voulais pas pas de ton regards
mais tu a pris le temps de apaise mes souffrance
sur les parchemin de l espoir
ont sais dit pourquoi pas
mais le silence est devenus plus rien
je te racontais qui je fut dans le
s siècles passer
je te décrivais les personnages
avec qui javais festonnée
durant des siècles a la table de
toutes liberté sensuelle et charnel
pourtant ton amour a grandit sur mon âmes et
apporter un sens a ma renaissace
mais les blessure se sont couvert
de ton essence féminin
mais les insulte de tous ennemis
se sont dessoler de ma peau
quand tu ma lava de la tete aux pied
dans la douche de ton fantasme et
désir de me voire revolée dans ton ciel bleu
pourtant aux croisement de nos chemin
j était enchainée dans une cage aux barreau du mépris
j étais la dans cette cage enchaine a des chaines
a des maillon gris San couloir
où avec le couloir où tu temps jadis
ont me conduit aux buchée
où du temps jadis ont me mis la tete
sur les echaffo de la pendaisons et de la guillotine
tu as vus le sang de mes veines sur les mures de ses longe couloir de tous les mépris
tu as entendus les gris de la foule
qui demandais ma morts
dans leur jouissance de la jalousie
tu a ressentis mon coeur se mourir devants les juges de toutes les saisons
pourtant sans avoir peur de mes hurlement et grognement de haines
tu a ouvert la portes de la cages où je fut plus de milles fois jeter dans les oublis
et délivre mes pauvres ailles
âmes ou anges déchus tu ma libéré de mes maillons de la solitude
mais en silence je suis partis dans les éclaire de ma revolutions
dans les tourbillons de ma guerre contre Babylone et ses serviteur ou bouffons
mais en silence je t ai dit merci et promis de te revenir une fois la paix retrouvée dans se monde
mais en silence je t ai fait l amour
pour te laisser une empreinte
de ma plume et de mon parchemins de vérité
pourtant sur nos parchemin je te caressais avec tes mains
tu me parlait de liberty et de sensualité
pourtant sur les cordes de ta melodie tu me disait des mots tendre a attendre
pourtant je rejoignis mes armée
cache dans les oublis
pourtant je repris mon épée et mon bouclier
et les mis a tes pieds
devants mon armée qui applaudis
mais ma chère maitresse
sais tu qui tu a libère des abimes
mais ma chère femme sais tu réellement qui je suis
rasta
M
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mais de qui parle
Publié le 19/01/2010 à 04:23 par rasta666s
mais de qui parle
mais de qui parle
tu ais l honneur de la connaitre
mais de qui parle tu
ais l honneur de la connaitre
se gentlemen- des temps modernes
se poètes qui se joue avec la littérature
sans pourtant la connaitre
mais dis qui tu fais des éloge
éloge qui ravis bien des coeur
eloge dune perosnnes ou d un fantôme
qui a traverser les temps et les ocean
an volant dans les nuages de la providence ou du relle
mais je vois vraiment pas de qui tu parle
ais je l honneur de l avoir rencontre se marquis la
qui a souper et festival avec des fantômes
qui courait sur ses parchemins
mais présenté le moi donc
et invite le a la maisons
que je le fais ton mari
où ton amants
mais fessons lui une surprise
invitons le a sont propre mirages
avec les mots et les phrases de ton coeur
car ma belle maitrise
quand vous parle de lui
de se rebelle de la vie
je vois vos yeux brille dans la nuit
et vos seins se durcir
a chaque lecture de ses voyelle ou consonnes
mais ma belle maitresses
votre corps enflamme et je constate que vos mains ne tienne plus ne place
que vos jambes se sont lugubrement écarté
pour laisser se poser avec la douceur dune pétale de rose
sur votre vagins
oups un petit mots un peu plus tories
mais qui est repris dans les plus grands diction aires
de la vie ou des études de se mondes
je hume votre de sir d être près de lui
je sculpte cette envie dans de la pierre de votre désir
je ressent la jouissance de votre fruit
quand vous le lisez tards dans la nuit
quand vous été seul
dans se grands lit
mais je me demande si un jour
je le ferais
se poètes fou
rasta
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notre ages a peut importance
Publié le 19/01/2010 à 02:32 par rasta666s
notre ages a peut importance
notre ages pour moi na pas importance
car j ai eu en main l épée d excalibur
car j ai lus les parchemins de Baudelaire
a sont époques où tous était encore pur
mais qui osais défier les ciel et leur dieu dans ses écris
car notre ages na plus importance a nos yeux
car je suis révolutionnaires avant
s mon erse
je me permets de te déshabillée par des consonnes
et déboutonner ta chemise par les
consones de mon alphabet
et de fairre glisser la tiret de ta jupe par les
voyelle de mon envie
de de graffer les agrafées de ton soutiens
par des verbes sensuelle ou charnel
de retirer avec delicatesse le restant étoffée
par des mots et des phrases de tous les temps
pourtant je suis pas professeur de lettres
je ne suis que pauvres gardiens
de ta bibliotheques
ou alchimie et chimie sont dans des livres
et non plus pas le savoir de professeur de lettre
qui ont pris serment et alléchante
a servir les lois de leur dictionnaires
venus des temps des premir
parchemin ou château
je ne suis que pauvres entre les pauvres
qui osent écrire par des semblable le désir
de ton cor^ps par des voyelle envie de tes lèvres
par des mots de ton parchemins
le fantasme de ton corps
par des phrases la saveur de ton fruit
que je viens cueillir
sur les bout de te seins
car surement j ai trop velus avec les
parquais et marquises de tous temps
dans des festins où sade et Freud buvais du bon Rome
en lisant les fable deja écrite ou pas de la fontaines
qui était partis en voyages
dans le monde napoléon
qui se jouait pas mal des dictons de jul zezar
mais a ma table de pauvres gardiens j ai aussi bestiole
avec serge gains bourg et le bon vieux bob marley
qui se fumait un join avec jim morisons
en rigolant des blaques de coluche
mais de chapiteau en chapiteau
j ai vus des peintre
j ai entendus piccaso chanter en fessant danser ses peinture folle
j ai apparus pierrot et sa melodie de la lune
et assister aux couronnement du roi soleil
j ai traverse les temps depuis sa créations
belle époques ou époques de guerre et de famines
j ai traverse les champs et les bois
pour rependra mon amour
sensuelle et charnel
dans tous ages et dans tous espoir de voir fleurir
et naitre la liberté
de nos mots et syllabe et encore consonnes
dans des verbes ou adverbe
qui se-cris dans un poesies
qui donneras naissance a une melodie qui deviens
grand père ou grands mers de artiste ou
de chanteur d opéras ou de taverne ou
encore de enceins cabaret
pour frisonner a la leur dune lampes a pétroles
qui a vus nos ages se muriras dans nos regards de désir
rasta"
etre
-
, être être sois même en marchant en dansant sur la vie sans filtre , sans
imiter des chansons pas ...
Il y a 1 an
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